Les genres, ou types de poésie, les plus populaires chez les Alexandrins étaient la poésie épique, lyrique et élégiaque ainsi que les épigrammes. Bien qu'inspirée par les sentiments et l'imagination d'aujourd'hui, leur poésie était surtout grecque.
Certaines formes de poésie alexandrine peuvent être considérées comme des variantes de formes poétiques plus anciennes alors que d'autres innovent au niveau de la forme et du contenu. Les genres de la poésie alexandrine ne se rapportent pas à l'Egypte ou à son peuple. Par exemple, le poème pastoral de Théocrite ne décrivait pas la beauté de la nature en Egypte mais bien celle de l'île de Cos ou de la ville de Syracuse.
Même après y avoir vécu, les poètes grecs ne connaissaient rien de l'Egypte si ce n'est ce qu'ils en avaient lu dans des récits grecs ou ce qu'Hérodote ou Platon en avaient écrit. Ajoutons également que ces poètes n'accordaient aucune attention aux paysages locaux à moins qu'ils ne puissent être utilisés pour louer le roi qui leur servait de mécène. Le trait le plus important de la poésie alexandrine est peut-être l'absence de sentiment politique ou pieux vis-à-vis des anciens dieux. Elle s'intéressait davantage aux horizons de la connaissance humaine et aux émotions de l'homme. Notons également que la poésie alexandrine faisait l'éloge d'une vie simple et idyllique, radicalement opposée à la complexité de la vie quotidienne menée par bon nombre d'individus. Néanmoins, les poètes alexandrins dépeignaient la réalité avec une grande fidélité.
Certaines formes de poésie alexandrine peuvent être considérées comme des variantes de formes poétiques plus anciennes alors que d'autres innovent au niveau de la forme et du contenu. Les genres de la poésie alexandrine ne se rapportent pas à l'Egypte ou à son peuple. Par exemple, le poème pastoral de Théocrite ne décrivait pas la beauté de la nature en Egypte mais bien celle de l'île de Cos ou de la ville de Syracuse.
Même après y avoir vécu, les poètes grecs ne connaissaient rien de l'Egypte si ce n'est ce qu'ils en avaient lu dans des récits grecs ou ce qu'Hérodote ou Platon en avaient écrit. Ajoutons également que ces poètes n'accordaient aucune attention aux paysages locaux à moins qu'ils ne puissent être utilisés pour louer le roi qui leur servait de mécène. Le trait le plus important de la poésie alexandrine est peut-être l'absence de sentiment politique ou pieux vis-à-vis des anciens dieux. Elle s'intéressait davantage aux horizons de la connaissance humaine et aux émotions de l'homme. Notons également que la poésie alexandrine faisait l'éloge d'une vie simple et idyllique, radicalement opposée à la complexité de la vie quotidienne menée par bon nombre d'individus. Néanmoins, les poètes alexandrins dépeignaient la réalité avec une grande fidélité.
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