Les études scientifiques modernes sur la culture de l'ancien égyptien commencèrent par l'expédition française en Egypte entre 1798 et 1801. Peu après cela, naquit cette nouvelle discipline qu'est l'Egyptologie.
Le Français Jean-François Champollion (1790-1832) finit par réussir à déchiffrer les écritures hiéroglyphique et démotique en se basant sur le travail préliminaire effectué par le Suédois John David Akerblad (1763-1819) et l'Anglais Thomas Young (1773-1829).
Champollion comprit les écritures lorsqu'il se rendit compte que les hiéroglyphes, en dépit de leur apparence extérieure, n'était pas une langue illustrée dans laquelle chaque signe correspond à un mot entier. Il arriva à cette conclusion en se basant sur la pierre de Rosette qui comporte un décret sacerdotal de la période ptolémaïque dans deux écritures différentes d'Egypte ancienne et en grec.
Champollion compta plus de 1 400 signes hiéroglyphiques qui correspondaient à seulement 500 de la version grecque. Il supposa, à raison, que les noms royaux de Ptolémée et Cléopâtre que l'on trouvait dans le texte grec, apparaissaient dans les cartouches du texte hiéroglyphique et que, en principe, il lui suffisait de les lire lettre par lettre.
Des noms supplémentaires de rois suivaient sur d'autres documents et d'autres mots lui apparurent, puis des formes grammaticales et, enfin, la syntaxe. Sans aucun doute, la connaissance de Champollion du copte lui fut d'une grande aide.
Aujourd'hui, la recherche a progressé jusqu'au point où presque tous les textes peuvent être plus ou moins compris.
La plupart des exceptions sont des textes cryptographiques, ou codés, que des prêtres ont conçu tout spécialement, particulièrement au cours de la période gréco-romaine. Les Egyptiens eux-mêmes ne laissèrent pas un dictionnaire ou une grammaire de leur langue .
Le Français Jean-François Champollion (1790-1832) finit par réussir à déchiffrer les écritures hiéroglyphique et démotique en se basant sur le travail préliminaire effectué par le Suédois John David Akerblad (1763-1819) et l'Anglais Thomas Young (1773-1829).
Champollion comprit les écritures lorsqu'il se rendit compte que les hiéroglyphes, en dépit de leur apparence extérieure, n'était pas une langue illustrée dans laquelle chaque signe correspond à un mot entier. Il arriva à cette conclusion en se basant sur la pierre de Rosette qui comporte un décret sacerdotal de la période ptolémaïque dans deux écritures différentes d'Egypte ancienne et en grec.
Champollion compta plus de 1 400 signes hiéroglyphiques qui correspondaient à seulement 500 de la version grecque. Il supposa, à raison, que les noms royaux de Ptolémée et Cléopâtre que l'on trouvait dans le texte grec, apparaissaient dans les cartouches du texte hiéroglyphique et que, en principe, il lui suffisait de les lire lettre par lettre.
Des noms supplémentaires de rois suivaient sur d'autres documents et d'autres mots lui apparurent, puis des formes grammaticales et, enfin, la syntaxe. Sans aucun doute, la connaissance de Champollion du copte lui fut d'une grande aide.
Aujourd'hui, la recherche a progressé jusqu'au point où presque tous les textes peuvent être plus ou moins compris.
La plupart des exceptions sont des textes cryptographiques, ou codés, que des prêtres ont conçu tout spécialement, particulièrement au cours de la période gréco-romaine. Les Egyptiens eux-mêmes ne laissèrent pas un dictionnaire ou une grammaire de leur langue .
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